La filière bois travaille sur la réduction de l'impact environnemental de ses solutions techniques.
Dans ce contexte s'est posée la question des évolutions possibles en matière d'optimisation des préconisations de la protection des bois de structure en situation de classe d'emploi 2 (voire pour la classe d'emploi 1 également).
En fait le risque majeur est surtout le risque insecte qui fait l'objet d'un texte règlementaire en France conduisant à systématiser ou presque depuis des années, la durabilité conférée compte tenu des essences utilisées.
Cofinancée par le CODIFAB et FBF et réalisée par le FCBA, cette étude, étayée notamment par du benchmarking international, a permis de proposer de nouveaux concepts de protection des bois (encapsulage : barrière physique pour les ILX, et Niveau(x) traité(s) pour termites métropolitains) et a fait l'objet de propositions d'évolutions de "l’arrêté du 27 juin 2006 modifié le 16 février 2010" qui pourront être directement exploités dans le cadre de révision règlementaire.
A noter que le risque fongique est à gérer dans les DTU et se base sur la protection des éléments en phase chantier vis-à-vis des épisodes pluvieux.